Théâtre
Tout est bien qui finit bien
CIE LA BOÎTE À OUTILS
Texte William Shakespeare
Traduction Frédéric Jessua et Vincent Thépaut
Mise en scène Frédéric Jessua
Avec Félicité Chaton, Céline Laugier, Raouf Raïs, Charles Van de Vyver, Rony Wolff, Léna Tournier Bernard, Enzo Houzet et Vincent Thépaut
Dramaturgie Vincent Thépaut
Création lumières Diane Guérin
Scénographie Charles Chauvet et Frédéric Jessua
Costumes et accessoires Julie Camus
Décor construit et peint aux ateliers Crèvecoeur (27) par Emilie Gottmann, Zoé Logié de Marsan, Charles Chauvet, Enzo Houzet, Frédéric Jessua et Vincent Thépaut
Construction tournette Eric Szczuczynski
Maquillage et coiffures Pauline Bry
Chorégraphies Georgia Ives
Musique originale Richard Le Gall
Assistanat Clémence Ribereau
Habillage Korika Coulibaly
Dans une Europe minée par la guerre, sous le règne de François 1er, une jeune femme se lance à la poursuite d’un homme qu’elle veut aimer malgré lui. Cette comédie nous fait vivre l’obstination d’une orpheline, amoureuse du fils de la femme qui l’a élevée.
Jusqu’où peut aller le désir d’une femme ? Jusqu’où peut aller la lâcheté d’un homme ? Tout est bien qui finit bien, comédie composée par William Shakespeare vers 1604, frappe par sa charge érotique totalement décomplexée et par son déroulé hautement rocambolesque. L’intrigue surprend et la nature de ses protagonistes déroute : ce ne sont pas des héro·ïnes extraordinaires ou des monstres que l’on pourrait mettre à distance avec confort, mais des personnages troubles, portant en eux un savant dosage de sentiments contradictoires : pudeur et érotisme, pureté et désir fou, fidélité et inconstance, épopée personnelle et Histoire.
Ce specacle a été soutenu en résidence par le théâtre L’Échangeur en avril 2025 et a été créé en mai 2025 au Théâtre 13.
Production la Boîte à outils
Avec le soutien de la Fondation René Sando
Coproduction Théâtre 13
Avec la participation artistique du Jeune Théâtre National
Coréalisation la Boîte à outils ; Théâtre 13
Avec l’Aide à la résidence du Moulin de l’Hydre et du Théâtre L’Échangeur